Botanique
 

Index des pages de botanique

  1. 1.Cartes de la végétation

  2. 2.Écosystèmes (système Corine)

  3. 3.Écosystèmes (INPN, synthèse de 2015)

  4. 4.Comptes rendus de sorties

  5. 5.Espèces protégées

  6. 6.Monographies : le sumac fustet, le cycas du Japon, les frênes, le nerprun alaterne, les filaires, le micocoulier de Provence, la Barbe-de-Jupiter, et les plantes du Fort-Carré d’Antibes, plantes de la colline volcanique de Villeneuve-Loubet

  7. 7.Les galles

Ouvrages recommandés

Carles (Lionel) & Thébault (Ludovic), 2017. – Guide de la flore des Alpes-Maritimes, du Mercantour à la Méditerranée. Gilletta/Nice-Matin, Nice, 2e édition, augmentée, 432 p. + CD-ROM. Guide relativement complet et scientifiquement correct. La présence pour chaque espèce d’un atlas de distribution est un grand avantage, car cela facilite aussi la détermination. Ce livre est transportable sur le terrain. Mais les Monocotylédones Poales (graminées, joncs, carex, roseaux, etc.) ne figurent pas dans ce recueil.

Poirion (Louis), Carle (Lionel) & Thébault (Ludovic), 2017. – Randonnées botaniques et découverte de la végétation dans les Alpes-Maritimes. Gilletta/Nice-Matin, Nice, 286 p. Ce guide, qui transcrit et actualise un manuscrit du professeur Louis Poiron (1901-1994), comporte deux parties : 1°) une description de la géographie, de la géologie, des biotopes et des biocénoses des Alpes-Maritimes et des régions voisines de l’Italie, (2°) 33 circuits de randonnées, avec une liste des espèces de plantes, plus quelques indications géologiques ou historiques. L’index des noms français et l’index des noms latins renvoient aux pages du livre et aux photos des plantes. Ce livre complète le précédent. Sa deuxième partie permet aux randonneurs de découvrir la plupart des sites naturels du département.

Ouvrages de référence

Tison (Jean-Marc), Jauzein (Philippe) & Michaud (Henri), 2014. – Flore de la France méditerranéenne continentale. Naturalia Publications, 04250 Turriers, 2 078 p. + pl. h. t. (www.floremed.com/flore-de-la-france-mediterraneene-continentale). Un outil d base, pour confirmer et compléter (liste des espèces introduites) la flore précédente. Faite par les meilleurs spécialistes. Une édition numérique est parue en 2016. Elle tient compte des corrections. Ce livre traite de toutes les plantes dites « vasculaires » (Trachéophytes), c’est-à-dire des plantes dont les tissus contiennent des vaisseaux capables d’assurer le transfert de la sève (sève brute, sève élaborée) et des hormones, d’un organe à l’autre. Leurs feuilles ont donc des nervures. Dans l’ordre de l’Évolution, on distingue : les Cryptogames Vasculaires ou Ptéridophytes (lycopodes, sélaginelles, isoètes, prêles, fougères), les Préspermatophytes (Cycadales, Ginkgo biloba), les Spermatophytes (plantes à graines : Gymnospermes, Angiospermes). Cet ouvrage traite aussi des forêts, des arbres caractéristiques, de la biologie et des distributions géographiques des espèces.

Pour approfondir l’étude des Ptéridophytes, l’ouvrage suivant est recommandé :

Prelli (Rémy), 2002. – Les Fougères et plantes alliées de France et d’Europe occidentale. Belin, 432 p.

Les Bryophytes (hépatiques, anthocérotes et mousses) n’ont pas de tissus conducteurs (sauf exceptions) et sont donc de petite taille. Très abondants dans les milieux continentaux humides et dans les rivières, ils partagent avec les plantes vasculaires ci-dessus des caractères communs, en particulier la présence d’organes en forme de bouteille (« archégones ») pour protéger leurs gamètes femelles (« oosphère »). Dans l’Évolution, ce sont des formes intermédiaires entre les Algues vertes et les Trachéophytes. Voir http://bryophytes-de-france.org/yeswiki/wakka.php?wiki=BryosGeneralites.


Sites d’aide à la détermination des espèces

FloreAlpes (http://www.florealpes.com/) : ce site permet de consulter une série de photos pour chaque espèce, puis de revenir directement à la liste des espèces après consultation (ce qui n’est pas possible sur Wikimédia) ; l’usage des photos est le meilleur système de détermination pour un néophyte, car les clés de détermination sont lourdes et nécessitent souvent un « laboratoire » (loupe binoculaire zoom avec éclairage, dissection à l’aide de brucelles).

Wikimédia (http://www.google.fr/advanced_search?hl=fr) : entrez le nom latin (genre + espèce) dans la ligne de recherche (n° 2) ; Wikimédia est souvent trouvé, et c’est en principe le meilleur site pour découvrir les caractéristiques complètes de chaque espèce, avec des photos plus ou moins nombreuses ; Wikimédia renseigne sur les progrès de la classification et offre des liens pour accéder aux genres, familles, etc.